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2014  Galerie MLS  Bordeaux        

2012  Casa Carrère  Bages        L'Indépendant 13.08.2012

 

2012  Casa Carrère  Bages        L'Indépendant 25.07.2012

 

Le vernissage de l'exposition de BKB, Brigitte Kühlewind Brennenstuhl, a réuni de nombreuses personnes venues découvrir ses œuvres.

 

 

A travers les différents étages de la Casa Carrère on pouvait s'initier dans la vie et l'univers de BKB, s'inspirant des événements de sa vie, de son parcours personnel. Ses thèmes de prédilections sont la sexualité, la douleur, la violence, l'enfermement et l'amour ! Brigitte a investi les lieux et a choisi de vivre à la Casa le temps d'installer ses œuvres. "Cela me permet de ressentir les lieux, de m'en imprégner !" dit-elle. Et le résultat et là, rien n'est laissé au hasard. Ensuite, tous se sont retrouvés dans le sous-sol de la Casa Carrère. Le maire, Serge Soubielle, en a profité pour présenter le festival, dont Marie-Hélène Gueroult est l'instigatrice et pilier de la manifestation. Après les remerciements d'usage, ce fut Richard Meier, éditeur de livre d'art qui a complimenté l'artiste et ses œuvres.

 

La soirée s'est terminée autour du verre de l'amitié.

2012  Casa Carrère  Bages        Le Travailleur Catalan

 

Brigitte Kühlewind Brennenstuhl s'expose à Bages

 

Pour cette artiste singulière, une exposition, c’est une expérience de vie, l’investissement d’un lieu, une création au plein sens du terme. Peintre nomade, elle plante sa tente, met des rideaux aux fenêtres, s’installe...alors, l’accrochage peut commencer. Voilà qui fait de chacune de ses expositions un évènement unique, telle celle qui, en ce moment, occupe la Casa Carrère à Bages.

Un vaste espace sur trois niveaux, le rez-de-chaussée déjà doté de bas reliefs de pierre, l’un figurant la jetée de Collioure, sacrément connoté, donc. Qu’à cela ne tienne, Brigitte exploite à fond le thème avec une crique, des petits bateaux de papier, et, coup de génie, dans chaque niche, un sémaphore, et la patte BKB. Ancienne graphiste, les lettres, les mots lui importent, d’où, ces listes de mots commençant par la même lettre, et ces vieux exemplaires jaunis du «Monde» qui tapissent des objets de toutes sortes, ou, comme de vieux «Neues Deutschland», servent de support à ses toiles.

Découvrir une exposition de Brigitte, c’est entrer dans un territoire intime, suivre le fil d’une vie. D’ailleurs, elle dispose ça et là divers objets, formes pour confectionner les chapeaux, pièce de bois pour repriser les chaussettes, montres... et, en bas, des photos d’elle, petite fille, avec son jeune frère, ou sur des photos de classe, ou femme libre et indépendante dans sa jeep, autant d’indices. Il y a eu son cheminement artistique, la prison en RDA, les liens familiaux compliqués, la France... A Bages, ce sont plus d’une centaine d’œuvres, de tous formats, à parcourir au fil des étages. On y retrouve les couleurs emblématiques de BKB, blanc, rouge, noir, les successions et répétitions, les boules, les boutons et boutonnières... échos à l’enfance, la famille, aux blessures, à l’enfermement, au sexe, à l’amour. Jusqu’à cet autoportrait, tout en haut, où le visage s’efface pour n’être que reflet du paysage regardé. D’une salle à l’autre, l’oeil est happé par des ensembles, qui, de près, dévoilent de multiples strates, des éléments que l’on peut identifier, d’autres qui restent énigmatiques. Se rapprocher, s’éloigner, un va et vient indispensable, passer de l’éblouissement à l’approfondissement, de la séduction à l’émotion. BKB, une artiste en perpétuelle interrogation, qui ne craint pas d’aller au bout, c’est pour cela qu’elle nous touche si fort.

Après Bages, Brigitte part en résidence à Londres. Tous nos vœux l’accompagnent.

 

A voir jusqu’au 30 septembre. Du mardi au dimanche de 16h à 19h.

Une mention particulière pour la qualité de la personne chargée de l’accueil.

 

 

Auteur: Nicole Gaspon

Source: http://www.i-services.com/membres/newsbox/fiche_news.php?%20uid=109552&sid=78444&idbox=1406&id=97057&show=new

Expositions: FestiBages - Brigitte Kühlewind Brennenstuhl

 

Pyrénées-Orientales

 

 

Du  07/07/2012  au  30/09/2012 

 

Ouverture: Samedi 7 juillet, 18h30, Casa Carrère. L’exposition sera ouverte jusqu’au 30 septembre, du mardi au dimanche, de 16h à 19h. 

 

Brigitte Kühlewind Brennenstuhl est née en Allemagne (ex. RDA). Elle quitte très tôt le foyer familial pour étudier l’art. Arrêtée et emprisonnée en 1985-1986 pour tentative de fuite, elle passera un an en prison dont six mois en isolement, ce qui lui permettra de se retrouver face à elle-même. Le thème de l’emprisonnement intérieur est un thème récurrent dans ses toiles. Elle puise son inspiration dans ses événements de vie, son parcours personnel, les relations difficiles avec sa mère et la psychologie. Ses thèmes de prédilection sont la sexualité, la douleur, la violence, l’enfermement et l’amour. 

Elle vit depuis maintenant 20 ans en France.

 

 

source: http://www.artistescontemporains.org/expositions/evenement.php?id=5102 18:30  à  19:00

2012  Casa Carrère  Bages        Maison des Artistes

 

2012  Casa Carrère  Bages        La Crida 60

 

2012  Maison du Chevalier, Centre d'Art Contemporain  Carcassonne

Brigitte Kühlewind Brennenstuhl (BKB) exposer à Carcassonne

 

 

L'artiste installée en Vallespir imprime sa marque à La Maison du Chevalier au pied de la Cité avec des peintures, des sculptures, des installations.

 

Deux étages d'une bâtisse sans chauffage, la pierre des murs, le fer des escaliers, et, comme à chacune de ses expositions, Brigitte s'est emparée du lieu, l'a fait sien, l'a réchauffé. Des rideaux blancs, des objets et cet extraordinaire agencement d’œuvres de toutes formes, matières et dimensions. Gouaches, fusains, cartons, papiers, tout un univers où dominent le rouge, le noir, le blanc. Des couleurs chez elle lourdes de sens, le blanc du dentifrice, le noir du cirage, le rouge, et surtout, les boules rouges, des têtes d'allumettes, objets usuels en prison. Mais le rouge déborde, c'est aussi le sang, donc la vie, et la révolution.
 

Œuvres accrochées aux murs, ou pendues au plafond, cubes posés, boules omniprésentes... on est toujours frappé par l'inventivité, la puissance créatrice d'une artiste à l'énergie ravageuse, d'une femme en dialogue incessant avec elle même, son passé, son histoire. L'intitulé de l'exposition est explicite: une expression en russe signifiant textuellement "Le petit lapin qui prend la grosse tête", référence au premier livre qu'elle a lu, à l'âge de 7 ans. Illustration dès l'entrée avec une installation comportant une photo d'elle bébé posée sur une sorte de piédestal recouvert de fourrure, un fusil de bois suspendu au dessus visant... quoi? C'est tout Brigitte, ce mélange de dérision et de tendresse, de souffrance, aussi, une mise en scène de l'intime. "Mon travail est toujours très personnel" nous confie-t-elle "cette fois ci c'est doux et chargé en même temps... j'ai envie d'exposer mon passé, rien d'extraordinaire pourtant, nous étions des ploucs, des gens normaux avec les problèmes de tout le monde, ce qui m'intéresse, ce sont les relations dans la famille, les choses de la vie, les peurs". Un parcours qu'on retrouve au fil des œuvres exposées, l'enfance (petits bateaux, collages avec photos d'elle petite fille, boules, perles, allumettes...) la famille, l'amour, même quand il est "en cage", l'enfermement, rappel de son expérience de la prison en RDA, les fêlures... Un vécu tumultueux, avec l'enfance qui revient sans cesse, comme en boucle: l'éducation religieuse, elle peint sur des pages de catéchisme, les préjugés qui corsètent, elle peint des barbelés... images de l'enfermement, autant symbolique que réel, et ces objets, ustensiles ou récipients, dessinés comme à la hâte sur du papier journal, sur des textes manuscrits... un inlassable va et vient entre hier et aujourd'hui. "La liberté, c'est découvrir le savoir sur soi même", elle fait sienne cette formule d'Engels. 


Ce côté éminemment personnel, même s'il est là, finit par être dépassé, parce qu'au final, c'est à une oeuvre, forte et authentique que l'on est confronté, qui se sent autant qu'elle se perçoit , que l'on se plaît à voir et revoir tant elle magnétise, empoigne, bouleverse.

 

L'exposition est visible jusqu'au 15 mars, Maison du Chevalier 56 rue Trivalle Carcassonne

En avril, BKB expose à Londres , Large Glass gallery

 

NG


Le soir du vernissage, la fête se poursuivait en face, au restaurant "La tête de l'art" et aux bons soins de Jean Marc Tilcké, galeriste, avec un concert exceptionnel de Gaspard Claus au violoncelle et Pedro Soler à la guitare flamenco. L'occasion de découvrir, en un mélange détonnant, les sonorités moelleuses du cante jondo dialoguer avec les impros audacieuses du violoncelliste, un duo qui déménage.

 

 

Auteur : Nicole Gasponu

Source: http://nicolegaspon.over-blog.com/article-brigitte-kuhlewind-brennenstuhl-bkb-expose-a-carcassonne-99987739.html

2012  Maison du Chevalier  Carcassonne        La Dépêche

Née en Allemagne (ex. RDA), elle quitte très tôt le foyer familial pour étudier l'art ; elle gardera toutefois des liens avec ses parents. Elle habite aujourd'hui dans les Pyrénées Orientales.

 

Arrêtée et emprisonnée en 1985-1986 pour tentative de fuite, elle passera 1 an en prison dont 6 mois en isolement, ce qui lui permettra de se retrouver, découvrant que l'on ne pouvait plus fuir. Le thème de l'emprisonnement sera un des thèmes récurrents de ses toiles. Durant cette période, elle dessine sur des supports comme les boîtes d'allumettes, les paquets de cigarettes et utilise 3 couleurs, le blanc, le rouge et le noir (en prison, elle les fabrique elle-même, avec du dentifrice pour le blanc, des têtes d'allumettes pour le rouge de la cire sèche pour le noir); que l'on retrouve dans toutes ses toiles. Son travail, au début, était plutôt naïf et sa peinture changera et deviendra différente, moins figurative, elle s'est enfin libérée. Ses sources d'inspiration sont sans aucun doute la psychologie, les évènements de sa vie, son parcours personnel, les relations difficiles avec sa mère. Elle expose d'ailleurs un fusil mis en scène et reposant sur un socle recouvert de peaux de lapin avec une photo d'elle petite fille souriante, où elle dit que la vie était belle à ce moment-là. Ce fusil vise le portrait symbolisant sa mère, sa mère restant un moteur pour elle. Ses supports passent des cahiers, aux journaux, au carton, aux patrons de couture; les thèmes du tricotage, du nettoyage, des cartouches, des crayons dans des petits flacons, la sexualité, la douleur, la violence, l'enfermement et l'amour sont présents dans ses œuvres. Elle aime les autres et veut leur faire partager ses idées et elle ne veut surtout pas changer, elle «déteste» cette société qui nous utilise comme consommateur et où l'argent a trop d'importance. Elle donne également des cours de peinture à Banyuls et se sert de son vécu pour aider ses élèves à se développer. Brigitte dit tout simplement que son travail est des plus banal, nous dirions plutôt que ses œuvres sont le reflet des stigmates de sa vie fascinante pleine d'émotions. Magnifique, à découvrir à la Maison du Chevalier.

La Dépêche du Midi

 

 

Source: http://www.ladepeche.fr/article/2012/03/07/1299475-carcassonne-elle-s-appelle-brigitte-kuhlewind-brennenstuhl.html

2012  Maison du Chevalier  Carcassonne        L'Indépendant

"BKB" a été incarcérée dans les années 80 pour avoir voulu fuir l'Allemagne de l'Est. 

 

 

PHOTO CHRISTOPHE BARREAU

 

 

 

L'art se lève à l'Est Cire, allumettes et dentifrice: sa palette de prisonnière.

 

 

C'est d'abord un destin, un vécu hors norme qu'accueille jusqu'au 15 mars la Maison du Chevalier, rue Trivalle.


Celui de Brigitte Kühlewind- Brennenstuhl, née en 1949 en RDA. Partie de chez ses parents à 17 ans pour étudier le dessin industriel et l'art graphique à Berlin. Incarcérée en 1985 pour avoir voulu quitter l'Allemagne de l'Est. "Rachetée" par l'Ouest avec l'aide d'Amnesty international. Longtemps voyageuse, en Allemagne, en Suisse, sur le canal du Midi, et aujourd'hui installée dans le Haut-Vallespir.


"En prison, c'est là qu'on se trouve. On ne peut plus fuir"


L'expérience carcérale imprègne la plupart de ses peintures, sculptures et installations. La cellule, la boîte, reviennent en leitmotiv. Quand ce n'est pas la fenêtre de son cachot, volée et conservée ! Pour "BKB", la prison fut moins un traumatisme qu'une révélation. "Quand vous êtes enfermé seul dans une cellule, vous n'êtes dérangé par personne d'autre que vous-même. C'est là qu'on se trouve. On ne peut plus fuir".


Cette année passée derrière les barreaux ne fut que le prolongement de son émancipation adolescente qui la fit quitter sa famille: "Chercher qui je suis est devenu ma vie". Quête menée entre psychanalyse et création artistique.


Fusil et photo d'enfance 

En marge des références à l'incarcération (allumettes, crayons, cartouches de fusil enfermés dans des boîtes, cellules et tiroirs dessinés sur papier journal), le travail de "BKB" renvoie aux figures du père et de la mère, au pénis, au vagin. "Je suis devenue moi-même le jour où j'ai gueulé pour la première fois sur mes parents. J'avais 44 ans!" Aujourd'hui, elle tue le père en disposant un fusil au-dessus d'une photo d'elle en bébé hilare.


Brigitte, la rebelle de la famille. Brigitte, révoltée aussi contre le monde qui l'entoure. "Je déteste cette société qui nous manipule comme de petits acheteurs !", lance-t-elle en trépignant, animée de la même passion qu'au premier jour. "Dans les cours de peinture que je donne à Banyuls, je partage mon art et mon vécu. Je ne fais pas ça pour l'argent. De ce point de vue, je suis complètement rouge!", assure celle qui tenta d'échapper au régime communiste.

Malgré son vécu mouvementé, Brigitte Kühlewind-Brennenstuhl, comble de la modestie, qualifie son inspiration de "banale et quotidienne" ! 

 

2009  Galerie du Tenyidor  Collioure

PHOTO PATRICK FICHET

 

 

 

Brigitte Kühlewind Brennenstuhl

 

La neige en confiance

 

 

 

Quand on découvre pour la première fois le travail de Brigitte Kühlewind Brennenstuhl (il semble admis de l’appeler BKB…), on peut avoir l’impression d’être dans le domaine de l’abstraction.

 

On n’en est pas loin, mais bien vite pourtant, on se rend compte qu’il ne s’agit pas de cela.

Cette peinture là est bien une peinture "qui raconte des histoires". Plutôt bavarde, même.

Une foule d’histoires qu’on devine du domaine de l’intime. L’intimité de l’artiste, faite d’une multitude d’histoires qui dont son histoire, une histoire avec des épisodes pas ordinaires.

Qu’il s’agisse de sa vie familiale, sentimentale, politique ou professionnelle.

 

Une vie particulièrement riche en évènements, pas toujours heureux, pas toujours tragiques, parfois assez exceptionnels, parfois plutôt communs, presque banaux. Mais qui, pareillement, la construisent, et construisent sa peinture.

 

Alors, sa peinture est naturellement émaillée de "souvenirs" de ce vécu, des signes/signatures dont on ne saurait à priori déceler ce qu’ils peuvent signifier. Comme par exemple ces boutons utilisés de manière récurrente, qui nous laissent supputer les plus invraisemblables histoires de mercerie.

 

Cela est déjà, aussi, dans les supports : feuilles arrachées d’un livret de partitions musicales ou d’ouvrages d’économie politique, page de quotidiens ("Le Monde" notamment)…

 

On ne sait pas toujours bien de quoi il s’agir ? Et alors ? Alors, étrangement on  a aussi comme l’impression que c’est aussi nous-mêmes que racontent ces peintures tant elles nous touchent directement.

 

Et puis on peut se recentrer sur l’aspect plus formel du travail de BKB. Et là, c’est bien différent ; on est dans le dépouillement, l’économie de moyens et l’absence de tout artifice. Quelque chose de cru, de rugueux, de direct, presque abrupt. Du « brut de cuve » comme diraient les œnologues. Et cette force, pas si "tranquille"…, qui en transpire. Tout cela dans une palette réduite aux couleurs "tragiques", aussi les couleurs de la révolte : le noir, surtout, et le rouge. Le blanc aussi, quand même. Le noir du cirage, le rouge des têtes d’allumettes, le blanc du dentifrice : les seules couleurs dont elle disposait durant son internement.

 

Brigitte Kühlewind Brennenstuhl est née en Allemagne de l’Est, dans un petit village près de la frontière. Elle début professionnellement comme dessinatrice industrielle, puis travaille comme graphiste, affichiste, illustratrice de livres pour enfants, designer… pour finalement, après avoir enfin été admise aux Beaux-Arts de Berlin, se consacrer exclusivement à la peinture.

 

Inscrite, et militante engagée, au Parti Communiste, elle connaît pourtant la prison pour avoir voulu "passer à l’Ouest". Libérée au bout d’un an seulement grâce à l’intervention d’Amnesty International, c’est l’expérience des camps de la Croix Rouge et des interrogatoires de bureaucrates occidentaux, puis elle bourlingue : Fribourg, l’Italie, la Suisse, le Mexique, le Vietnam… En 1991, elle s’installe en Dordogne ; à l’occasion d’une exposition au Centre d’Art de Saint-Cyprien, en 2001, invitée par Gilles de Montauzon, elle découvre notre Département, et le village de Lamanère où elle décide de s’installer.

2009  Maison Heidelberg  Montpellier     

2009  Le Fort de Bellegarde  Le Perthus        L'Indépendant

2006  Maison des Arts  Bages        Olé ! Magazine

2006  Galerie Thérèse Roussel  Perpignan        L'Indépendant

2006  Galerie Thérèse Roussel  Perpignan        Le Travailleur Catalan

2006  Galerie Thérèse Roussel  Perpignan        L'Accent Catalan

2006  Galerie Thérèse Roussel  Perpignan        L'Indépendant

1999  Musée du Périgord  Périgueux        Le Journal du Périgord

1995  Article "Une tranche d'humanité"        Revue Ici

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